Musique et Danse
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04 oct
One Man Show : Abdelkader Secteur
Vendredi 3, samedi 4 octobre à 20h30 et dimanche 5 octobre 2014 à 18h. Après avoir triomphé pendant trois ans sur les scènes de Paris, Alger, Bruxelles et Casablanca, Abdelkader Secteur revient avec un tout nouveau spectacle encore plus hilarant que le premier. Dans cette nouvelle aventure, au carrefour du conte et du one-man-show, il nous raconte, avec son sens inouï de la tchatche et de la dérision, son existence haute en couleur, partagée entre les deux rives de la Méditerranée.
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10 oct
Bienvenue dans la transe d'Issawi
Vendredi 10 octobre 2014 à 20h00 L’ordre aissawa remonte au XVe siècle et reste encore extrêmement vivace à notre époque. Il est organisé en une multitude de tâ’ifa (communautés) ou rakb (cortèges), placés chacun sous l’autorité d’un muqaddem « délégué ». Son fondateur, Sidi Mohammed Ben Aïssa, est mort en 1526 et son tombeau, à Meknès, reçoit chaque année, au moment de la fête du Mouloud (date anniversaire de la naissance du Prophète), des milliers de pèlerins et des dizaines de tâ’ifa, venus se ressourcer et renouveler le pacte de fidélité.
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11 oct
Sous le feu rythmique du reggada
Samedi 11 octobre 2014, 20h00 Abdelkader Talbi, plus connu sous le nom de Talbi One, est musicien et auteur-compositeur-interprète de reggada, nommé alaoui chez le voisin algérien, un rythme fiévreux, qui ne laisse jamais le temps, au spectateur, de s’échauffer : il transpire tout de suite. Le reggada renvoie aux danses traditionnelles, d’inspiration guerrière à l’origine, des Béni-Snassen (tribu berbère issue de la province de Berkane au Maroc oriental), entraînantes, et qui se sont propagées dans les montagnes voisines du Rif. On les danse avec des mouvements d'épaules, un fusil (ou un bâton), en frappant des pieds contre le sol au rythme de la musique, afin de symboliser l'appartenance à la terre.
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17 oct
Luth royal
Vendredi 17 octobre 2014, 20h00. Chez Haj Youness, le luth fait l’objet d’un véritable sacerdoce. Titulaire du grand prix de virtuosité et d'interprétation de luth, du Conservatoire municipal de Casablanca, il s’est fait remarquer, dès 1971, par une manière de jouer inédite, qui fait du manche du luth, une partie intégrante du jeu et une surface ajoutée à la gamme connue, jusqu'alors, du luth traditionnel. Ses recherches l'ont conduit à former un premier quatuor de luths, en 1983, avec lequel il a entamé des tournées au Maroc et à travers le monde.
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18 oct
Une aventure qui ne ressemble à aucune autr
Samedi 18 octobre 2014, 20h00 L’Anti RuBber BrAiN fActOry (A.r.b.f) est une aventure qui ne ressemble à aucune autre, empruntant un chemin qui se dessine tout seul sous ses pas, toujours attaché à la recherche d’un son pur et à la création vraie, produit moderne d’une époque où traditions, multiculturalité et technologies se côtoient et fusionnent. Aujourd’hui, c’est dans ce monde en ébullition qu’A.r.b.f. agit et expérimente.
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24 oct
Sol-Os
Vendredi 24 octobre 2014, 20h00 Né en 1966, dans un faubourg de Casablanca, Khalid Benghrib se définit comme un homme qui s’est épanoui à travers la pratique artistique chorégraphique, avec le vif souhait de partager son univers et sa pédagogie par la transmission à d’autres, mus par la même passion, sans distinction d’âge, de confession ou de race.
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25 oct
Aïssawa meets rock
Samedi 25 octobre 2014, 20h00. Naviguant entre la tradition irrévérencieuse de la langue populaire – sans muselière – et un rock aux assauts dévastateurs, Haoussa incarne à merveille la nouvelle génération d’un Maroc en pleine mutation.
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31 oct
Le coup de sirocco pop-rock
Vendredi 31 octobre 2014, 20h00. 22€ tarif plein / 18€ ou 12€ tarifs réduits. « Je m'appelle Doueh, je suis artiste, originaire de Dakhla, au sud du royaume du Maroc ». C’est ainsi que le jeune guitariste se présente, invariablement, comme pour insister sur ses racines musicales. Car la plus grande ville du Sahara occidental – une ancienne colonie espagnole très proche de la Mauritanie – est aussi le berceau de la culture hassanie, cette tradition orale des populations de l'Ouest du Sahara, faite de poésie et de musique en fusion : voix, claquements de mains, t'bal (tambourin sahraoui) et tidinit (petit luth à quatre cordes). Cette musique, Doueh l'a toujours connue et jouée, accompagnant cette poésie des grands espaces qui raconte les rigueurs du climat, l'aridité de la terre…
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01 nov
Percussions de Marrakech
avec le groupe Banna Al Bassat. Samedi 1er novembre 2014, 20h00 . 12€ (hors frais de réservation) La daqqa – le « tambourinage » – est une musique collective et masculine de percussions polyrythmiques et de chant choral. Elle se pratique, à Marrakech et dans sa région, traditionnellement une fois par an, à l’occasion de la fête religieuse de l’Achoura. C’est surtout un art spectaculaire porté par un déluge de percussions et de claquements frénétiques de mains.
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08 nov
L’art judéo-marocain
avec l’ensemble Abdelkrim Raïs, sous la direction de Mohamed Briouel, et la Chorale Kinor David. Samedi 8 novembre 2014, 20h00 26€ tarif plein / 22€ ou 12€ tarifs réduits De même qu'on ne peut dissocier le nom de Hadj Abdelkrim Raïs de celui de son maître Lebrihi, on ne peut séparer le nom Hadj Abdelkrim Raïs de celui de son disciple préféré, Mohamed Briouel. Ce dernier a débuté sa carrière aux côtés de son maître et a pris une part de plus en plus prépondérante dans l'activité de l'orchestre, à mesure que Hadj Abdelkrim Raïs avançait en âge.
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22 nov
Marrakech via Alméria
avec Aziz Sahmaoui et Niño Josélé. Samedi 22 novembre 2014, 20h00. 22€ tarif plein / 18€ ou 12€ tarifs réduits. Une rencontre frappée au coin du bon sens. Entre Niño Josélé, l’un des nouveaux maîtres de la guitare flamenca, et Aziz Sahmaoui, l’une des plus belles voix du Maghreb d’aujourd’hui. Un premier titre en duo, Zawiya Aziz en disait assez long sur leurs intentions. Ce premier essai traçait déjà les riches possibilités et les potentialités d’une collaboration que les musiciens ont finalement décidé d’approfondir avec ce projet rapprochant la coquette ville andalouse d’Alméria (de l’arabe mraya, miroir) de l’ancienne capitale du royaume chérifien, Marrakech ; et cela n’a rien d’un choc des cultures.
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23 nov
Musique judéo-marocaine : Gharnati de Rabat
avec Haj Ahmed Piro, Bahaa Ronda et Michel Abitan Dimanche 23 novembre 2014, 17h00. 20€ tarif plein / 16€ ou 12€ tarifs réduits. Ce concert rassemble trois personnalités exceptionnelles versant, avec bonheur, dans le genre gharnati, dernier-né des arts andalous. C’est d’abord en grand amateur de la musique que Haj Ahmed Piro, honorable octogénaire, se présente encore malgré les années et l’expérience professionnelle que tout le monde lui reconnaît.
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28 nov
Hasa (Fiesta), de Marrakech au Caire
Vendredi 28 novembre 2014, 20h00 Né à Agadir, Mayodi a grandi dans une autre ville : Fasi. Il s’installe à Paris en 1970. Après un bac en sciences économiques, il poursuit ses études à la Sorbonne jusqu’à l’obtention d’une licence d’Histoire (Islamologie et Egyptologie). Ces brillantes formations, si elles ne décident pas de son avenir professionnel, vont au moins lui assurer une solide base de réflexion. Pour l’enfant d’Agadir, l’épanouissement ne viendra que de sa vocation première : la danse !
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29 nov
Hasa (Fiesta), de Marrakech au Caire
Samedi 29 novembre 2014 à 20h00 Né à Agadir, Mayodi a grandi dans une autre ville : Fasi. Il s’installe à Paris en 1970. Après un bac en sciences économiques, il poursuit ses études à la Sorbonne jusqu’à l’obtention d’une licence d’Histoire (Islamologie et Egyptologie). Ces brillantes formations, si elles ne décident pas de son avenir professionnel, vont au moins lui assurer une solide base de réflexion. Pour l’enfant d’Agadir, l’épanouissement ne viendra que de sa vocation première : la danse !
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05 dec
l'age d’or de la chanson marocaine
avec le groupe El Assil. Vendredi 5 décembre 2014, 20h00. 12€ ( hors frais de réservation). Les décennies 1950 et 1960 ont connu un bond qualitatif et une symbiose merveilleuse entre la musique et la parole, dans la chanson marocaine. Maati Benkacem, Fouiteh, Brahim Alami, entre autres, furent les pionniers de cette fusion harmonieuse entre les rythmes originels et la langue parlée par la grande majorité des marocains à une époque où le taux d’analphabétisme était important, et où tous les grands espoirs étaient permis, après l’indépendance du pays.
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12 dec
Ribab Fusion
Vendredi 12 et samedi 13 décembre 2014, 20h00 12€ Le groupe, créé à Agadir en 2008, est le produit d’un rêve, celui de remettre le « ribab » à sa place légitime sur la scène musicale marocaine, et par le biais de sa musicalité unique, de faire accéder cet instrument au-delà des frontières de son aire naturelle, par un voyage transculturel, favorisant la découverte de la musique amazighe. Réconcilier la richesse d’un patrimoine musical avec des tonalités modernes, sinon modernistes, telle est l’ambition de Ribab fusion.
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13 dec
Ribab fusion
Vendredi 12 et samedi 13 décembre 2014, 20h00 12€ Le groupe, créé à Agadir en 2008, est le produit d’un rêve, celui de remettre le « ribab » à sa place légitime sur la scène musicale marocaine, et par le biais de sa musicalité unique, de faire accéder cet instrument au-delà des frontières de son aire naturelle, par un voyage transculturel, favorisant la découverte de la musique amazighe. Réconcilier la richesse d’un patrimoine musical avec des tonalités modernes, sinon modernistes, telle est l’ambition de Ribab fusion.
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13 dec
La nayda marocaine
avec Mazagan Samedi 13 décembre 2014, 20h00 12€. Le groupe Mazagan est devenu une référence, dans son genre, après une décennie d’existence et un succès jamais démenti : plus de 400 concerts, au Maroc mais aussi dans plusieurs événements internationaux, et jusqu’aux derniers Jeux de la francophonie 2013, à Nice.
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19 dec
Ha !
Vendredi 19 décembre 2014, 20h00 S’inspirant des quatrains de Jalâl al-Dîn Rûmî, grand poète persan et mystique soufi à l’origine de l’Ordre des derviches tourneurs, la dernière création de Bouchra Ouizguen (Ha !) explore la folie. Mais quelle folie ? Celle du génie ou de la sagesse ? Ordinaire ou sanguinaire ? Aliénante ou libératrice ? Amoureuse ou désespérée ? Délirante ou insensée ? Si, en Europe, les « fous » sont toujours enfermés, dans la culture arabe, ils ont leur place dans la cité. Les mots pour qualifier cette folie sont nombreux, tout comme les remèdes qui passent par le chant, la danse et les rituels mystiques, transe ou chamanisme.